Mirabelle
06/12/2010, 12h06
L’association Aspro-Pnpp* organise une action de « Désobéissance Civique » à la mairie de Montreuil avec le soutien de la municipalité, la présence d’élus : Maires, Conseillers Généraux, Conseillers Régionaux, Députés et Sénateurs ainsi que Gilles Clément, architecte paysagiste et créateur d’un jardin de résistance composé d’orties à Melle.
Des produits naturels alternatifs aux pesticides chimiques existent, on les appelle les Préparations Naturelles Peu Préoccupantes ou Pnpp (purin d’ortie, vinaigre blanc, petit lait…) mais ils ne peuvent pas être utilisés car ils ne disposent pas d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) en France, bien qu’ils soient autorisés par le règlement européen de l’agriculture biologique et utilisés dans les autres pays européens.
Le gouvernement ne pourra pas respecter ses engagements de réduction de l’usage des pesticides si les alternatives naturelles sont, elles aussi, considérées comme des pesticides et ne sont pas autorisées à cause de contraintes administratives stupides.
L’entêtement de l’administration française à vouloir traiter les PNPP comme des pesticides conduit les agriculteurs les jardiniers et les collectivités locales dans des impasses réglementaires inacceptables.
Aspro-Pnpp demande la reconnaissance effective des Pnpp, le droit à leur utilisation et à leur commercialisation.
En partenariat avec : la Confédération paysanne, Nature & progrès, Les Amis de la Terre, Les Amis de l’Ortie, L’Ortie, Mouvement Cultures Biodynamiques, Déméter, Syndicat des Simples, Kokopelli, Agro bio-Périgord …
Des produits naturels alternatifs aux pesticides chimiques existent, on les appelle les Préparations Naturelles Peu Préoccupantes ou Pnpp (purin d’ortie, vinaigre blanc, petit lait…) mais ils ne peuvent pas être utilisés car ils ne disposent pas d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) en France, bien qu’ils soient autorisés par le règlement européen de l’agriculture biologique et utilisés dans les autres pays européens.
Le gouvernement ne pourra pas respecter ses engagements de réduction de l’usage des pesticides si les alternatives naturelles sont, elles aussi, considérées comme des pesticides et ne sont pas autorisées à cause de contraintes administratives stupides.
L’entêtement de l’administration française à vouloir traiter les PNPP comme des pesticides conduit les agriculteurs les jardiniers et les collectivités locales dans des impasses réglementaires inacceptables.
Aspro-Pnpp demande la reconnaissance effective des Pnpp, le droit à leur utilisation et à leur commercialisation.
En partenariat avec : la Confédération paysanne, Nature & progrès, Les Amis de la Terre, Les Amis de l’Ortie, L’Ortie, Mouvement Cultures Biodynamiques, Déméter, Syndicat des Simples, Kokopelli, Agro bio-Périgord …